Je vais faire une pause sur mes révélations géométriques et arithmétiques, je pense que j’ai dit à peu près ce que je voulais écrire là dessus. Donc, pour me décontracter un peu, je me suis mis à lire les aventures d’Arsène Lupin et d’autres livres de Maurice Leblanc.

Je survolais le tome II «Jules Verne et Arsène Lupin » d'Alexandra SCHREYER où elle fait allusion à une corrélation possible entre « Ile aux trente cercueils » de Maurice Leblanc et la crypte de Notre-Dame des trente Cierges du Mont Saint-Michel et cela m'a fait penser à un passage des « Récits de Belzebuth à son petit fils » de G. Gurdjieff que je vous livre ci-dessous (chapitre sur l'art) :

...C’est ainsi qu’au début de l’actuelle civilisation européenne, un certain moine, ancien architecte, du nom d’Ignace, acquit même la possibilité de déchiffrer les connaissances et les informations profitables qui avaient été dissimulées dans les œuvres de presque toutes les branches de ce que l’on nommait à l’époque « l’art ancien » et qui remontait aux temps babyloniens.

Mais lorsque le moine Ignace fut sur le point de faire part de sa « découverte », comme on dit, à d’autres êtres de ses pareils, soit en l’occurrence, à deux de ses camarades – des moines avec lesquels il avait été envoyé comme spécialiste par son supérieur pour diriger ce qu’on appelle les « travaux de fondation » d’un temple qui devint célèbre par la suite – ceux-ci le tuèrent pendant son sommeil, pour un motif futile, issu de cette conséquence cristallisée en eux, de celle des propriétés de l’organe kundabuffer que l’on nomme « envie », et jetèrent son corps planétaire dans l’étendue d’eau, qui entourait la petite île sur laquelle on se proposait d’ériger le temple en question.

Ce moine Ignace vint au monde et se forma en tant qu’être responsable sur le continent d’Europe, mais lorsqu’il eut atteint sa majorité, en vue de s’enrichir d’informations relatives à la profession qui était devenue le but de son existence – celle d’ « architecte » - il se rendit sur le continent d’Afrique. Et là, il entra dans une confrérie existant alors sur ce continent sous le nom de « Chercheurs de Vérité ». Plus tard, au temps où cette confrérie, ayant émigré sur le continent d’Europe et s’étant agrandie, ses membres prirent le nom de « Bénédictins », il comptait déjà parmi les « frères de tout les droits » de la confrérie.

Le temple dont je viens de parler existe encore aujourd’hui là-bas, et se nomme à présent, me semble t-il, l’Abbaye du « Mont Saint-Michel ».

l'Ile aux trente cierges

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